Krummenacher valide le nouveau règlement Supersport
Randy Krummenacher fera ses débuts dans le Championnat du Monde FIM Supersport l’an prochain et s’est confié à WorldSBK.com pour discuter de ses attentes et du nouveau règlement technique de la catégorie.
Randy, tu courras avec Kawasaki Puccetti Racing l’an prochain. Qu’est-ce qui a motivé ta décision et qu’espères-tu de la saison à venir ?
« J’ai pris cette décision parce que c’est un très bon package et je suis très content. J’espère obtenir les résultats que je viserai et être devant. C’est un bon team, une très bonne moto et je suis confiant pour l’an prochain. »
À la fin du mois tu feras ton premier test avec le team et ta nouvelle moto. Qu’avez-vous prévu pour cette étape de familiarisation ?
« Je ne m’attends pas à beaucoup du premier test qui aura lieu à Jerez. Je vais simplement faire le plus de tours possible et essayer de trouver le feeling sur la moto mais aussi avec les pneus et les freins. Tout va être différent et mon premier objectif sera donc d’accumuler les tours. Ensuite il faudra gagner en feeling et essayer d’être efficace sur les chronos. »
Le World Supersport va connaître d’importants changements l’an prochain, avec notamment une électronique moins élaborée. Qu’en penses-tu ?
« C’est très bien pour moi puisque nous n’avons pas d’aide électronique en Moto2, ça m’ira donc très bien. Je ne suis pas habitué à rouler avec le contrôle de traction et le contrôle du frein moteur alors pour moi il n’y aura peut-être pas beaucoup à changer en termes de style de pilotage et c’est positif ! »
Ton coéquipier sera le quadruple Champion du Monde Kenan Sofuoglu. Comment envisages-tu ton travail à ses côtés ?
« Je ne sais pas ! (rires) C’est bien entendu un pilote très expérimenté. J’ai beaucoup de respect pour lui. Ce sera bien de l’avoir comme coéquipier parce que je pourrai sûrement apprendre beaucoup de choses de lui. »
Randy Krummenacher a couru en Grand Prix de 2006 à 2015, en 125cc puis en Moto2. En 2007, il avait fini sur le podium du GP de Catalogne en ne manquant la victoire que d’un dixième de seconde.
